4 raisons d’aimer les mauvaises herbes…
Orties, trèfle, pissenlit… Ne les considérez pas trop vite comme des indésirables. En réservant un coin de jardin à ces sauvageonnes, vous contribuez à son équilibre biologique. Sans compter les savoureuses soupes en perspectives…
Les “mauvaises herbes”, tout comme les fleurs sauvages, partagent différents atouts.
Elles jouent les indics
En observant la végétation spontanée, nous obtenons de nombreux renseignements sur l’état du sol et sur ses éventuelles carences. Ainsi l’ortie indique un sol fertile, riche en azote. La pâquerette et la renoncule, un sol argileux. Le coquelicot, un sol plutôt calcaire et la potentille rampante un sol compact et asphyxié.
Elles ont une action régénérante ou équilibrante sur la terre.
En se décomposant, elles restituent au sol des minéraux, des oligo-éléments ou des vitamines. Les championnes en la matière sont la consoude et l’ortie.
Elles favorisent la biodiversité
Mieux adaptées à la faune indigène que les espèces exotiques, la plupart sont une source providentielle de pollen et de nectar et attirent un cortège d’insectes pollinisateurs et de nombreux papillons. Tout ce petit monde attire à son tour des prédateurs naturels comme les batraciens, petits mammifères, libellules et oiseaux qui consomment également les graines et les disséminent.
Elles aèrent le sol
Les racines de certaines plantes comme le pissenlit aèrent et décompactent les sols lourds et argileux.
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