Vivre la vie de ses rêves, c’est possible!
Vous avez un projet, mais n’avez jamais osé le réaliser? Vous rêvez de perdre 10 kilos, mais ne trouvez pas la motivation? Si d’autres ont réussi, pourquoi pas vous? Nous avons rencontré André Roberti, coach en développement personnel qui a répondu à nos questions pour vivre la vie de ses rêves.
Pour vivre la vie de ses rêves, il faut avoir de l’audace, et surtout se mettre en action pour atteindre ses objectifs.
Vivre la vie de ses rêves: entretien avec André Roberti
André est coach d’action et conférencier inspirationnel. Depuis 2014, il accompagne et inspire des milliers de femmes dans plus de 15 pays francophones lors de conférences ou par Internet grâce à ses programmes en ligne.
Qu’est-ce qui empêche les femmes de vivre la vie de leurs rêves?
Il y a plusieurs caractéristiques qui empêchent les femmes de réaliser leurs rêves et la première est certainement la difficulté à pouvoir dire “non”. Dans l’histoire, les femmes sont calibrées à prendre soin des autres, elles donnent la vie, elles s’occupent de tout le monde et finalement elles ont tendance à s’oublier. Savoir dire non, c’est dire oui à soi-même, ce n’est pas une mauvaise chose. Je prends souvent l’exemple de l’avion, lorsque l’hôtesse donne les consignes de sécurité. S’il y a un problème et que les masques tombent, une personne accompagnée d’un enfant doit d’abord se mettre le masque à elle-même, et ensuite elle peut s’occuper de l’enfant. De cette façon, elle sera tout à fait disponible pour les autres. C’est dans cette idée qu’il est important de d’abord penser à soi, avant de pouvoir s’occuper des autres.
Une deuxième notion est qu’en général, les femmes ont une capacité intuitive très élevée, une intelligence émotionnelle très développée. Elles ressentent les choses plus vite, et ont donc tendance à beaucoup plus réfléchir et passent moins vite à l’action que les hommes. Je fais beaucoup d’exercices lors de mes conférences pour oser passer à l’action.
Comment passer à l’action?
Pour passer à l’action, il faut se bouger, se mettre en mouvement. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Si je vis une situation désagréable, comme par exemple une séparation, l’idée de l’action c’est de ne pas rester enfermée dans une émotion de tristesse, de dépression en s’auto-flagellant. C’est comme si l’émotion nous enveloppait entièrement. L’idée est de mettre du mouvement dans tout ça: rien que sortir et marcher, c’est déjà bien. Se mettre en mouvement, bouger, aide à passer à l’action.
Un petit exercice quotidien que vous pouvez faire, c’est de créer une playlist avec votre musique préférée et prenez 3 minutes par jour avec cette musique pour chanter, danser, sauter dans tous les sens. Cet exercice crée du mouvement dans la vie et monte votre niveau d’énergie. Et là, on se sent bien et c’est à ce moment qu’on doit se demander ce qu’on veut faire concrètement pour se rapprocher de son objectif.
Vous êtes un créateur de déclic, comment crée-t-on un déclic?
En fait le déclic, ce n’est qu’une question de décision! Le déclic se fait souvent quand on se dit “plus jamais ça”. On cherche tous à éviter une souffrance, l’inconfort et on recherche tous le plaisir. Quand on veut avoir un déclic, il suffit que l’objectif que l’on veuille atteindre soit relié à énormément de plaisir ou à énormément d’inconfort. Si par exemple vous avez envie d’arrêter de fumer, et que vous cherchez le déclic, créez alors un grand inconfort à votre habitude de fumer. Une technique qui fonctionne extrêmement bien c’est de manger le mégot. Cela crée un énorme inconfort et physiquement votre corps va associer à la cigarette une sensation tellement insupportable que vous n’aurez plus jamais envie de fumer.
Une fois qu’on a le déclic, comment garder la motivation pour aller au bout, surtout en cas de coup de mou?
La première chose à faire, c’est se rappeler le “pourquoi” de ce que l’on fait. Souvent, nous avons tendance à se concentrer sur le “comment”: comment sortir de cette situation, comment perdre du poids, comment avoir plus confiance en moi… Ce ne sont pas les bonnes questions, la première question à se poser, c’est pourquoi: pourquoi ai-je envie de perdre du poids, pourquoi est-ce si important pour moi d’atteindre cet objectif. Après, on peut se poser la question de comment sera notre vie lorsque l’on a atteint nos objectifs.
À l’heure du digital, que pensez-vous des réseaux sociaux? Est-ce plutôt un frein (critiques, confiance en soi…) ou est-ce positif pour réaliser ses rêves?
Tout dépend de la façon dont on regarde les réseaux sociaux: est-ce qu’on les utilise pour nous ou est-ce eux qui nous utilisent? Les réseaux sociaux peuvent être un accélérateur ou un frein à vivre la vie de ses rêves. Lorsque l’on est accro aux réseaux sociaux, qu’on regarde tout ce qui se passe, qu’on se compare, qu’on scrute les plus beaux comptes avec les personnes les plus jolies en créant de l’envie, ça peut être un frein à notre bonheur. Par contre, on peut aussi utiliser les réseaux pour en faire un outil pour rencontrer des gens dans le même domaine, montrer ce que l’on fait, créer une communauté. À ce moment les réseaux sociaux se mettent à votre service.
Il est toujours important de se rappeler que la vraie vie ne se passe pas dans le numérique. Il faut trouver le bon équilibre: les réseaux sociaux sont là pour nous, il ne faut pas en être dépendant.
Participez à la conférence Vivre la vie de ses rêves d’André Roberti
- 8 mars 2019 à Bruxelles
- 19 mars 2019 à Louvain-la-Neuve
- 21 mars 2019 à Charleroi
- 26 mars 2019 à Namur
- 28 mars 2019 à Bruxelles
- 9 mai 2019 à Liège
Pour plus d’infos sur les conférences, rendez-vous sur le site d’André Roberti!
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