Grossophobie: vous devez voir ces mini-docus
Disponibles sur Youtube, ces deux courtes séries mettent en lumière les préjugés grossophobes. Des premières remarques à l’acceptation (malheureusement pas toujours) de soi, la route de ces femmes fut souvent longue et semée de conseils dérangeants.
En exposant les préjugés et les stéréotypes auxquels sont confrontées les personnes en surpoids, ces courts films tentent de sensibiliser le public à l’impact profond et dévastateur de la grossophobie sur la vie quotidienne, la santé mentale et physique, ainsi que sur l’estime de soi. Grâce à plus de vingt témoignages, ces docus tentent d’ouvrir la voie vers une société plus inclusive et moins discriminante.
2 documentaires à regarder
Devant la caméra, plusieurs femmes sont interrogées sur leur rapport à leur corps, sur les remarques nonchalantes et les conseils non sollicités qu’elles ont reçu sur leur poids.
“Je ne ferai plus de régimes” de Shirley Kohn
Il faut “faire attention”, “Bravo, tu as maigri”… Que ce soit à l’âge de trois mois, dans la petite enfance ou l’adolescence, toutes ont connu ces fameuses phrases assassines. Dans cette mini-série de neuf minutes, on découvre (en accéléré) le parcours de plusieurs femmes, des premières réflexions sur leur corps à l’acceptation de leur morphologie et à leur affranchissement des régimes.
T’es grosse: documentaire sur la grossophobie, de Sarah Merzouk
Comment t’es tu sentie grosse? Aimes-tu ton corps? Comment sont tes relations amoureuses? La réalisatrice pose avec bienveillance ces questions à 19 femmes grosses. On découvre ainsi dans ce documentaire de 30 minutes les remarques grossophobes et la grossophobie ordinaire subie par les intervenantes, souvent dès leur plus jeune âge. Des phrases de la grand-mère aux conseils des copines qui se veulent bienveillantes, on se rend rapidement compte que le problème traverse les générations.
Vous aimerez aussi:
Recettes, mode, déco, sexo, astro: suivez nos actus sur Facebook et Instagram. En exclu: nos derniers articles via Messenger.