avant 40 ans — Cette bucket list est la vôtre! © Getty Images

Psycho

40 choses à faire avant d’avoir 40 ans

Tatiana Czerepaniak

Lauranne Lahaye

22 août 2023

Vous allez fêter vos 40 ans prochainement? Vous serez certainement inspirée par cette liste de projets et de défis à réaliser avant de passer le cap!

L’entrée dans la quarantaine est une étape-clé dans la vie d’une femme. Si certaines l’abordent avec sérénité, d’autres se posent parfois des questions existentielles: “Qu’ai-je vraiment entrepris jusqu’ici?”, “Mon quotidien me rend-il heureuse?”, “Suis-je à ma place professionnellement?”. Une introspection liée, selon les psys, à la peur de la mort, qui viendrait nous titiller à cette période de la vie: on dit classiquement qu’on est alors “à la moitié”. Et si on envisageait cet âge comme une période où tout est possible et le moment opportun pour faire de soi une priorité?

40 challenges à tenter

Vous aimeriez vous lancer dans une bucket list? Les quadras de la rédac’ ont dressé la liste de leurs envies, des plus anecdotiques aux plus transcendantes. Piochez dedans!

Apprendre à changer un pneu: pour ne pas avoir à compter sur qui que ce soit en cas de pépin! Ça marche avec l’entretien de la chaudière, la purge des radiateurs et la déclaration fiscale.
Aller à un festival: notre pays est reconnu pour ses events musicaux, c’est déjà un bon argument!
Concocter l’anniversaire de vos rêves: célébrez ce passage en organisant une fête qui vous ressemble, afin de remercier la trentaine pour tous ses apprentissages: une fiesta dingue, un week-end à la campagne en famille élargie, une journée balnéo… L’important est que cela vous enchante!
Faire la fermeture d’une boîte: se laisser transporter par la musique et danser jusqu’au matin, sortir alors que le soleil se lève et se faire un café/croissant post-fête est une expérience à vivre au moins une fois!
Embrasser un(e) inconnu(e): vous laisser porter par vos sentiments et faire un baiser fou à un(e) parfait(e) inconnu(e) qui partagerait cette même envie.
Acheter un sextoy: pour apprendre à mieux connaître votre corps et à vous faire réellement plaisir, en solo ou avec un(e) potentiel(le) partenaire. Ne passez pas à côté de cet autre monde!
Vous surpasser physiquement: qu’il s’agisse d’un semi-marathon, d’un saut en parachute, d’un brevet plongée… L’important est de repousser ses limites physiques en s’y étant bien préparée.
Célébrer votre corps: en listant au moins cinq qualités physiques et en déconstruisant l’idée que vous vous faites du corps parfait… Car il n’existe pas. D’ailleurs, c’est quoi un corps parfait?
Choisir ce qu’il y a de mieux pour vous: privilégiez le “peu de produits, mais les bons” (du naturel, green, et un SPF tous les jours) et acceptez tant que faire se peut les rides et le relâchement cutané. À vous les soins visage en institut à chaque changement de saison, par contre.
Tester le conseil en image: pour savoir quel style et quelles couleurs vous mettent en valeur.
Poser nue: poser sous le regard expert et bienveillant d’une photographe et garder précieusement les deux, trois clichés que vous préférez.
Acheter une pièce de marque: vous rêvez d’un sac de créateur ou d’une paire de chaussures de luxe? Offrez-vous ce cadeau premium qui durera dans le temps… Ou demandez qu’on vous l’offre, tiens!
Trouver une nouvelle passion: la broderie, le judo, les échecs, histoire de savoir ce qui vous fera vibrer les prochaines années.
Apprendre une langue: pour obtenir une promotion dans votre boîte, discuter avec des collègues non francophones et vous sentir plus à l’aise lorsque vous voyagez.
Faire le point sur votre vie professionnelle: vous vous ennuyez au boulot, vous avez l’impression de ne pas évoluer et cela vous frustre? C’est le moment de partir en quête d’un réel épanouissement.
Demander une promotion: faire valoir auprès de votre entreprise l’expérience acquise ou lui proposer un projet qui vous permettra de vous épanouir autrement. La redemander tous les six mois si l’on vous dit non.
Postuler pour un job fou: vous avez toujours rêvé de rejoindre un groupe international? De gravir les échelons? Vous ne risquez rien à postuler et à franchir quelques étapes.
Travailler/vous former à l’étranger: pour changer d’air, de culture d’entreprise, de collègues… Inutile de tout plaquer, certaines professions et certains statuts permettent de prendre le large un temps, puis de retrouver votre poste.
Donner votre sang: au moins une fois!
Participer à une manifestation: et défendre une cause en vous positionnant clairement.
Faire du bénévolat: proposez votre aide ponctuelle (fêtes, période estivale…) ou de manière récurrente à une association dont le projet vous parle.
Calculer votre empreinte écologique: et vous demander ce que vous pourriez mettre en place concrètement pour la réduire.
Vaincre votre plus grande peur: votre phobie des araignées ou de la foule vous gâche la vie? Entamez une thérapie comportementale, c’est court et efficace!
Faire le tri chez vous: et vous défaire de tous ces objets que vous avez accumulés ces dernières années. Classique, on aime la méthode de Marie Kondo qui consiste à se demander si l’objet nous procure encore de la joie lorsqu’on le voit. Avancez pièce par pièce, gardez, donnez ou revendez.
Faire le tri en vous: pas simple de mettre fin à des amitiés de longue date, mais se débarrasser de liens toxiques ou vides de sens est salvateur.
Apprendre à méditer: pour mieux gérer vos émotions, canaliser votre stress, et ainsi aborder cette seconde partie de vie avec une belle sérénité.
Vous faire confiance: apprendre à écouter votre intuition, cette petite voix intérieure trop souvent étouffée.
Oser dire non: pour vous respecter davantage et faire des choix justes pour vous. Commencez par dire non à des questions basiques (celle du fromager qui voudrait vous vendre un plus gros bout de gruyère…), puis avancez sur des sujets plus touchy (invitations à dîner, à partager des vacances entre amis…).
Consulter un(e) psy: pour aborder la quarantaine avec une certaine connaissance de vous-même, de la manière dont vous fonctionnez, et apprendre à faire mieux peut-être?
Partir en retraite: la trentaine vous a fait vivre une succession de frustrations (déconvenues amoureuses, manque de liquidités pour réduire votre temps de travail ou acheter un bien…) et vous avez le sentiment d’être vidée? Faites le point sur vos besoins lors d’une retraite. Faire le vide en soi et autour de soi aide à y voir plus clair.
Partir seule: la retraite sans téléphone ni bon plat de pâtes vous angoisse? Zappez la formule, mais partez quand même. Choisissez une destination et des activités qui vous ressourcent vous et octroyez-vous du temps sans avoir à faire de concessions. Ciao la compagnie!
Partir entre femmes: filez avec vos plus fidèles amies, parlez épanouissement personnel, sexuel, argent, projets… Sans enfants, sans partenaire, sans ordi!
Dormir à la belle étoile: le temps d’une nuit, profiter d’un moment magique sous le ciel éclairé. Trop accrochée à votre confort ou peur de vous faire dévorer par les moustiques? Vous louerez alors une bulle, qui offre le confort de votre lit tout en profitant d’une nuit à ciel ouvert.
Vivre la “van life”: shotgun sur la camionnette pour parcourir le chemin de votre choix: la côte d’Opale, les Baléares, la Norvège…
Demander sa main: vous l’aimez, n’attendez pas que ça vienne de lui/d’elle!
Pardonner ceux qui vous ont blessée: pour ne pas embarquer dans cette deuxième partie de vie les rancœurs d’antan. Vous tournez la page et vous avancez avec ou sans eux… Bravo!
Dire à celles et ceux que vous aimez que vous les aimez: pour qu’ils sachent tout l’amour que vous leur portez. Pas de regrets!
Réaliser votre rêve d’enfant: écrire un bouquin en auto-édition, retaper un gîte en Ardèche…
Savoir si vous voulez devenir maman: une question-clé à se poser avant 40 ans étant donné les risques de la maternité tardive (pour vous et pour le bébé). Et pourquoi pas faire un bébé toute seule si la réponse est oui…
Écrire une lettre à celle que vous serez: qui décrit votre réalité actuelle, vos buts et désirs ardents, et qui dessine celle que vous pensez être à 50 ans. L’histoire vous donnera-t-elle raison?